« Dans la chambre des naissances, personne n’en revenait qu’aussi facilement un enfant naissant puisse connaître le chemin de la félicité, de la béatitude… Il n’avait même pas pleuré, passant du monde aquatique au monde aérien, comme un poisson volant de la mer à l’air. Encore lié quelque temps par la sécurité du cordon ombilical… Relié à la mère par le nombril et maintenant, cette nouveauté, par la bouche… »